3ème jour au Costa Rica… direction La Fortuna

Les enfants se sont réveillés à 5h30 après le lever du soleil, c’est en progrès…
Après avoir fait nos sacs , nous avons quitté l’appartement de Frederico pour aller prendre notre car pour La Fortuna.


Au terminal 7-10, nous montons dans un car où nous n’avons que 3 places, au guichet , ils avaient refusé de vendre des places enfants et nous avait demandé de mettre nos enfants sur nos genoux.
Jeanne , fidèle à elle –même, passera son trajet à dormir sur mes genoux et profitera du paysage durant la dernière heure, et oui, 4 heures de car, fenêtre ouverte, cheveux au vent.
Dès que nous quittons San Jose, le paysage change pour notre plus grande joie, c’est enfin le Costa Rica que nous nous imaginions.
Nous sommes habitués à nos vergers de pommes, de cerises, d’abricots… ici ce sont des vergers de bananes, de papayes, de citrons verts, de mandarines, de noix de coco…
Des yuccas servent de piquets aux enclos des vaches.
Des plantes exotiques ponctuent de couleurs le bord de route, c’est plutôt marrant de voir toutes ces plantes que je fais régulièrement mourir dans mon salon pousser de façon sauvage.


Certaines fleurs que nous vendent 7 euros pièce notre fleuriste poussent comme des pissenlits…nous aurions dû amener des pissenlits…pour essayer de financer une partie de notre voyage.
Amis bretons, il y a de nombreux hortensias bleus-mauve clairs dans les jardins et au bord des routes.
Nous nous rapprochons de La Fortuna et nous apercevons le volcan Arenal qui se dresse majestueusement. Il y a encore quelques années, il était en éruption.

Durant tout le trajet, Jules et Louise font les « gueek » collés à leurs DS puis quand ils lèvent les yeux :
« Regarde maman, c’est trop joli » « Oh, c’est la jungle » « T’as vu les bananes et les noix de coco !! »
A la gare routière, Ivan vient nous chercher en voiture pour nous mener au logement que nous lui louons. Nous empruntons une route de cailloux pour arriver à un magnifique petit appartement d’où nous voyons le volcan, des bananiers, des hibiscus, des « papayiers».

En se rendant à ce logement, nous apercevons une rivière où des gens se baignent donc on enfile les maillots de bain et nous y allons avant même d’ouvrir un sac !!!


Camille et Louise se rendent au supermarché, 45 minutes de marche aller –retour, ils rentrent alors qu’il fait nuit, pas tout à fait rassurer « la poupette »
Ici la nuit tombe vers 18heures.
Pendant que nous mettons à table, une averse tropicale nous surprend, les enfants trouvent cela très joli.

 

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